En ligne depuis le 21 septembre 2020
- La ville malléable, c’est celle qui accepte la polyvalence du bâti
- La ville, telle qu’on ne la regarde habituellement pas…
- « La nuit est devenue un lieu de créativité pour les politiques publiques »
- « On ne peut pas s’attacher à des lieux qu’on ne fait que traverser »
- Montpellier : des transports en commun gratuits pour « changer les habitudes en profondeur »
- L’espace public, une « notion toxique »
- Homo urbanus, les villes du monde au ras du bitume…
- « La rénovation urbaine ne fait pas tout »
- « La prise en compte réelle des besoins des usagers ne remet pas en cause la création du maître d’oeuvre »
- « Toute ville est intelligente, de l’intelligence de ses habitants »
- Edito
- « La volonté de laisser se dégrader le centre-ville de Marseille date d’il y a 50 ans »
- « Il faut pouvoir adapter les normes et les règlements aux contextes particuliers »
- « La forme architecturale n’est pas responsable du mal-vivre »
- « Pour un urbanisme humaniste »
- « Le projet partenarial d’aménagement du centre-ville de Marseille est un projet sur 20 ans »